Vieille France affolée
Affublée de folie
Car par les temps qui courent
La course effrénée surgie
De nul part
Nous en sommes partis
Mais ici des remparts
En peu de temps se sont construits
A la sueur du front
National qui nous peine
En exposant des concepts
Qui font monter la haine
Là où ils rêvent leur monde
Où l'espoir s'efface
Nationalisme gronde
Souhaitant muter sans laisser d'traces
En séparant les foules
L'avis des salauds tue
M'a dit l'oeuf ou la poule
Mais ça je ne le sais plus
à tout ces arnaqueurs
Qu'ont trouvé l'armature
Pour imposer la peur
Notre drogue est la thune
Paniquons en peinant
Parfaisant la préhension
Sur ce monde saignant
Saoulé sans cesse à la scission
Séparés par la crainte
Salués dans leurs pintes
Trinquant à leurs trucages
Troquant leurs drame dans notre étreinte
Où nos coeurs serrés
Par leur courroux aiguisés
Continuent de se tordre
Pour leur vision du nouvel ordre
Un monde divisé
Dans la démence démagogique
Démonte et détourne
La discipline pompe à frique
La discipline pompe à frique
Cette discipline qui pompe l'Afrique
La discipline pompe à frique
Cette discipline qui pompe l'Afrique
En séparant les foules
L'avis des salauds tue
M'a dit l'oeuf ou la poule
Mais ça je ne le sais plus
à tout ces arnaqueurs
Qu'ont trouvé l'armature
Pour imposer la peur
Notre drogue est la thune
Notre drogue est la thune
Notre drogue est la thune
Notre drogue est la thune
Notre drogue est la thune
Vieille France affolée
Affublée de folie
Car ici en peu de temps
Des putains de remparts se sont construits
A la sueur du front, national qui nous peine